0: Victoire des 4 salariés de Clinalliance à Pierrefitte-sur-Seine (93)

1: Petroplus: l'intersyndicale se bat pour que la raffinerie vive (Petit-Couronnes)

550 salariés luttent pour la survie de la raffinerie. Le groupe suisse Petroplus a été placé en liquidation judiciaire. L’intersyndicale CGT, CFDT, CFE-CGC cherche un repreneur. Le gouvernement a promis qu'il avait évoqué le dossier avec le groupe Total.
--> Tout savoir sur la bataille des Petroplus
--> Envoyer vos communiqués à filrouge@humanite.fr

2: Lejaby rachetée (Yssingeaux)

Sauvées par Nicolas Sarkozy? L'entreprise de textile a été reprise par le groupe LVMH, dont le PDG, Bernard Arnault est un  intime du président. Les 93 ouvrières refusent d'être instrumentalisées.


Lire l'article
--> Reportage auprès des ouvrières
--> Envoyer vos communiqués à filrouge@humanite.fr

3: IBM (informatique) à Antibes

80 salariés sur 85 étaient en grève le 17 janvier contre un projet de « dégraissage sournois » de la direction qui souhaite regrouper les salariés sur un site situé à 30 km du leur.
--> Lire le communiqué
--> Envoyer vos communiqués à filrouge@humanite.fr

4: Aéroport de Lille

La totalité des contrôleurs aériens de Lille-Lesquin ont débuté une grève le 17 janvier à l’appel de l’Usac-CGT, la Snac-CFTC et le SNCTA. Ils protestent contre les effectifs alloués à leur nouvelle salle radar.  
--> Lire l'article
--> Envoyer vos communiqués à filrouge@humanite.fr

5: Thalès (électronique) à Meudon

Les syndicats CGT et CFE-CGC s’opposent à la poursuite des délocalisations du groupe vers Singapour. Ils affirment que plus de 300 postes sur 4000 ont été supprimés en deux ans, sous prétexte de réductions de coûts de main d’œuvre et de production en dollar.
--> Lire le communiqué

--> Envoyer vos communiqués à filrouge@humanite.fr

6: RFI (Audiovisuel) à Paris

Depuis 2009, les salariés se mobilisent contre les méthodes employées pour fusionner la radio avec France 24. Les syndicats dénoncent une fusion « voulue par le président de la République » et destructrice d’emplois : près de 130 départs de salariés sont programmés, après 206 suppressions de postes en 2009.
Lire l'article
--> Envoyer vos communiqués à filrouge@humanite.fr

7: M-Real (papier) à Alizay

La papeterie a été condamnée à la fermeture par son propriétaire finlandais, qui a refusé systématiquement toutes les offres de reprise. Le Conseil général de l’Eure a exigé l’expropriation de l’industriel pour sauver le site. 330 salariés sont menacés.
--> Lire l'article
--> Envoyer vos communiqués à filrouge@humanite.fr

8: Veninov (toiles cirées) à Vénissieux

Leur entreprise a déjà été liquidée mais les 87 salariés continuent l’occupation de leur usine. Le Grand Lyon a voté une subvention de 70 000 euros pour maintenir l’outil de production dans l’attente d’un repreneur.
--> Lire l'article
--> Envoyer vos communiqués à filrouge@humanite.fr

9: SeaFrance (maritime) à Calais

La compagnie de ferries a été définitivement liquidée par le tribunal de commerce mais la messe n’est pas encore dite. Deux groupes voudraient mettre la main sur la ligne Calais-Douvres : le tandem Louis Dreyfus-DFDS et Eurotunnel. Ce dernier assure vouloir soutenir le projet de coopérative porté par la CFDT.
--> Lire notre dossier sur SeaFrance
--> Envoyer vos communiqués à filrouge@humanite.fr

10: Fralib (sachets de thé) à Gemenos

Les 102 salariés se sont engagés dans un bras de fer avec la multinationale Unilever depuis plus d’un an. La direction s’obstine à vouloir fermer l’usine, malgré les multiples décisions de justice.
--> Lire notre dossier sur la lutte des Fralib
--> Envoyer vos communiqués à filrouge@humanite.fr

11: Aéroport de Bastia

45 ex-salariés en CDD de la compagnie aérienne occupent depuis fin octobre les aéroports de Bastia et Ajaccio. Ils réclament leur embauche en CDI. La justice leur a donné gain de cause à plusieurs reprises mais la direction préfère payer les pénalités plutôt que de les réintégrer.
--> Lire l'article
--> Envoyer vos communiqués à filrouge@humanite.fr

12: Photowatt (solaire) à Bourgoin Jalieu

Seule entreprise à fabriquer des panneaux solaires en France, Photowatt a été placée en redressement judiciaire en novembre 2011. 442 emplois sont menacés. L’Etat a promis de venir en aide à l’entreprise.
--> Lire l'article
--> Envoyer vos communiqués à filrouge@humanite.fr

13: Thalès (informatique) à Toulouse

Les salariés de Thalès services s’opposent à un projet de cession d’une partie de leurs activités au groupe d’informatique GFI. Ils soupçonnent le groupe de se débarrasser de sa filiale pour s’éviter de financer un plan social. 600 salariés sont concernés.
--> Lire l'article
--> Envoyer vos communiqués à filrouge@humanite.fr

14: Herta (alimentation) à Saint-Pol-sur-Ternoise

Depuis le 10 janvier, les salariés du site de Saint-Paul font grève une heure par jour. Ils veulent obtenir l’ouverture de négociations salariales. Soutenus par les syndicats Unsa et CGT, ils réclament 3,5% d’augmentation.
--> Lire l'article
--> Envoyer vos communiqués à filrouge@humanite.fr

15: Hôpital de Saint-Maurice (94)

En grève depuis mi janvier pour exiger la suppression de l’individualisation de la prime dite « de service », les salariés ont finalement obtenu gain de cause.
Lire l'article
--> Envoyer vos communiqués à filrouge@humanite.fr

16: ONF à Paris

Une centaine d’agents de l’Office nationale des forêts ont occupé les locaux de la direction générale le 31 janvier. Soutenus par le syndicat Solidaires, ils réclament l’arrêt des suppressions de postes : en 25 ans, les effectifs ont chuté d’un tiers.
-->Lire l'article

17: Procme (travaux publics) à Ramonville-Saint-Agne

Les salariés portugais travaillant pour ce sous traitant d’ERDF ont fait grève le 30 janvier pour dénoncer leurs conditions de travail. Leur employeur, le groupe de travaux publics Procme, recrute directement au Portugal des salariés qu’il envoie ensuite dans le sud de la France. Plusieurs grèves en 2009 et 2011 ont réussi à arracher des garanties (retours périodiques, prise en charge du logement, etc) mais le groupe a récemment décidé de les mettre en cause.
--> Lire l'article

18: Arkema (Chimie) à Lyon

Le groupe de chimie a annoncé son intention de céder « gratis » une partie de ses activités à un fonds américano suisse Klesch. La CGT refuse cette option. « Klesch est un pur investisseur financier et en aucun cas un industriel », affirme le syndicat, qui dénonce les méthodes du repreneur.
--> Lire l'article

19: Bridgestone (pneus) à Béthune

L’entreprise de 1400 salariés est bloquée par une grève d’ouvriers. Payés au rendement, ils contestent leurs rémunérations et leurs conditions de travail.
--> Lire l'article

20: SMCO (chantiers navals) à Saint-Nazaire

21: CHU de Nantes

Les secrétaires médicales de l’hôpital protestent depuis fin janvier contre une organisation du travail qui les empêche de mener leurs tâches à bien. Grèves et rassemblements ont été organisés à l’appel de la CFDT.
--> Lire l'article

22: VOA (Albi)

Lors de l'accord salarial 2011, nous avions obtenu, grâce à la mobilisation des salariés, une augmentation de +2,1% (hors augmentation des primes) qui devait être réajustée à partir de l'indice INSEE 2011 + 2,4%, connu le 15 janvier 2012. Cette revalorisation, suivant notre accord 2011, devait se déclencher à partir de 2%, la Direction devait donc appliquer sur nos salaires de janvier +0,4%, ce qu'elle n'a pas fait, elle ne respecte donc pas sa signature. Rassemblement le 17 février
--> Lire le communiqué

23: Grève à Avon Polymères (Vannes)

24: Cdiscount en grève (Cestas)

90 salariés d'une plate-forme logistique ont arrêté de travailler le 10 février. En cause, la température dans les entrepôts, qui plafonnaient selon eux à 5 degrés le matin. La CGT dénonce plus globalement les conditions de travail.
Lire l'article

25: Marins en rade à Sète

26: Grève à Areva (Le Creusot)

A l'appel de la CGT et de la CFDT, les salariés d'Areva se sont mis en grève. Ces sites de créations de pièces forgées pour réacteurs réclament l'égalité de traitement salariale.
Lire l'article

27: Cargill en grève pour les salaires (Redon)

Une soixantaine de salariés de Cargill (agroalimentaire) se sont rassemblés devant les grilles de l'entreprise le 16 février. Soutenus par la CGT et la CFDT, ils veulent relancer les négociations salariales.
Lire l'article

28: Alcatel-Lucent à Trignac (44)

29: SNCM à Toulon

400 policiers du GIPN en réponse aux marins grévistes de la SNCM. La grève des marins n’avait pourtant qu’un objectif : renforcer la logique de service public dans le cadre de la continuité territoriale face à la concurrence acharnée et encouragée sur le dos des contribuables.
>>> Lire le communiqué

30: Martinique : mouvement des médecins hospitaliers

31: Concorde Montparnasse (Paris)

Après plus de vingt jours de grève, les salariés du quatre étoiles parisiens ont obtenu gain de cause: embauche de 8 salariés dont 2 en CDI, hausses de salaires (+3% pour les non cadres, +3% pour les cadres), etc.
Les raisons de la grève

32: ArcelorMittal à Florange

Comme prévu lors de l'assemblée générale de jeudi 16 février, les sidérurgistes ont investi dans le calme les locaux de la direction de l'usine ArcelorMittal de Florange (Moselle), bien décidés à défendre leur outil industriel. "Aujourd'hui, Florange est à nous !"
Lire l'article

33: Grève à Agrati (Fourmies)

34: PSA (Aulnay Sous Bois)

La publication par la CGT de PSA, en juin 2011, d’un document confidentiel a mis le feu aux poudres : la direction du groupe automobile a bien planifié la fermeture de l’usine d’Aulnay (3400 salariés). Depuis cette date, les ouvriers se mobilisent pour contrer le projet.
Lire l'article

35: Trailor ACTM (Lunéville)

36: Altia (La Souterraine)

Victoire pour les salariés de cet équipementier automobile qui s’opposaient aux sanctions prises par la direction à l’encontre de trois d’entre eux. Ces derniers sont accusés d’avoir pris des temps de pause excessifs. Les syndicats du groupe dénoncent plus globalement la gestion de l’équipementier.
--> Lire le communiqué

37: Courvoisier bloque sur les salaires (Foussignac)

Les salariés de cette entreprise (vente de cognac) se sont mis en grève le 23 février, bloquant la production. Ils réclament une augmentation de 150 euros pour tous.
Lire l'article

38: Albany (Saint-Junien)

39: Grève à Sevarome (Yssingeaux)

40: Valenciennes (59): incertitudes sur l'usine Sevelnord de PSA

Les salariés de l'usine Sevelnord de PSA Peugeot-Citroën peuvent être inquiets du rapprochement signé avec General Motors. Le patron du groupe automobile français n'a donné aucune garantie sur la pérénité du site après la fin du partenariat avec Fiat sur la production de véhicules utilitaires en 2017.
A lire:
PSA-General Motors: inquiétudes pour l'usine Sevelnord

41: Schiltigheim(67): Caddie en lutte pour sa survie

Le fabricant de chariots de supermarché a été placé en cessation de paiement et en redressement judiciaire par la chambre commerciale du tribunal de grande instance de Strasbourg, lundi 5 mars. L'entreprise qui emploie 500 personnes en France recherche un repreneur.
A lire:
Caddie cherche un repreneur pour sauver ses chariots

42: GT à Port Boucau/Tarnos (Landes/Pays Basque)

Ils sont 48 sur 65 à débrayer depuis le 23 février dernier. GT, entreprise sous-traitante de Turboméca, a déjà connu de nombreux conflits sociaux. Les salariés, dont le travail est reconnu pour sa qualité, sont payés au lance-pierre, et travaillent dans des conditions peu valorisantes. En 2008, ils s’étaient déjà battu pour obtenir une séparation du vestiaire homme de celui des femmes, avaient demandé un accès à de l’eau potable, des locaux plus dignes. La réponse du patron ? «Il est arrivé avec son chéquier personnel, nous proposant une avance de 1.000€ sur nos salaires si on stoppaient la grève.» Les salariés en rigolent encore... jaune.
>>> Lire la suite

43: Swisstex (Valence)

Swisstex Valence ne doit pas mourir

Notre entreprise possède un savoir-faire unique et précieux dont la perte serait catastrophique pour la filière textile française.
Pour 2012 nous avons un carnet de commande remplis à 90% (que des machines bénéficiaires) et principalement 98% à l’exportation.
N’ayant pas de trésorerie et devant le refus de notre actionnaire allemand de nous financer, et devant le blocage des banques,
actuellement nous sommes dans l’incapacité d’honorer nos commandes.
Nous nous interrogeons, donc, sur l’avenir de notre entreprise.
Nous savons qu’il est vital pour l’avenir de SWISSTEX, qu’une reprise ait lieu, par une autre société, capable de nous soutenir financièrement.

>>> Lire la suite du communiqué