À retenir :Une évacuation de camp dans la ville du ministre de l'Intérieur Manuel Valls. Il a justifié cette évacuation par "la politique (...) fixée (par l'État)", soit "d'évacuer des campements quand il y a une décision de justice ou quand la situation sanitaire en matière de sécurité est insupportable". Selon lui, à Evry, "c'(était) le cas, avec des baraquements sur le bord de la ligne RER".
À retenir :Une expulsion qui fait suite à une décision de justice, le terrain appartenant à une société privée. La mairie, elle, était favorable à cette évacuation. C'est la seconde évacuation d'un camp en deux jours après Evry la veille.
À retenir :Deux camps de la ville ont été évacués ce jour-là. Michel-François Delannoy, premier vice-président de la communauté urbaine de Lille avait confirmé que la collectivité et l'Etat, propriétaires des terrains, avaient engagé une procédure devant la justice pour que soient démantelés ces campements illicites. Une polémique éclatera par la suite avec la maire de Lille, Martine Aubry, qui en voudra beaucoup à Manuel Valls pour ces démantèlements.